Les êtres et la nature imbriqués. Cette osmose, ces ramifications sont le nerf à vif de mon travail. Les corps, les visages photographiés au naturel de mes proches sont au cœur d’un ensemble mis en abyme pour notre propre survie en milieu, parfois inhospitalier, des éléments paysagers qui nous entourent. Ces nouvelles « beautés », ces « transhumains », se transforment en nouvelles identités et posent la question de l’acceptation, ou pas, du plaisir et de la souffrance inhérents au genre humain.
